mercredi 23 mai 2012

Orpington fauve et Brahmas

Orpington fauve, Brahmas et Cochins

Orpington fauve et Brahmas et Cochins
Les poussins grandissent, le coquelet en avant plan a maintenant 7 mois, et les autres, en arrière, poulettes et coquelets ont environ 5 mois. Photos prises au matin du 22 mai 2012

mardi 15 mai 2012

Entretien du cheval, soin des sabots, parage négligé

Sabots en mauvais états




Entretien des sabots douteux
Depuis des années, je remarque lors d'expositions, de salons, d'encans, de rencontres ou encore chez des particuliers trop de chevaux de trait qui ont les sabots dans un très mauvais état.

Sur les 2 photos présentées ci-haut, vous pouvez observer de la corne éclatée, les seimes, des fissures de la muraille, qui s'étendent de la pince du sabot jusqu'à la couronne, un parage déficient, des fers qui ne conviennent pas. Et par dessus tout ce gachis, du vernis sur les sabots. Les seimes ou les fissures peuvent avoir plusieurs causes, un mauvais entretien des pieds, l'absence d'entretien des pieds, une carence chronique en vitamines et minéraux, des chevaux gardés dans la boue et le fumier, un manque de volonté et, ou de connaissances adéquates de la part du propriétaire du cheval concernant les soins de base essentiels à la bonne santé de son cheval.

À cela s'ajoute une infestation parasitaire microbienne et, ou fongique sur les paturons, les boulets et les canons, appelée, gale de boue ou dermatophilose, sans oublier cicatrices de crevasses sur un paturon postérieur.

Je vous joins un lien web portant sur les maladies du sabot où, il est questions des fissures ou seimes http://horse-village.com/soins-et-sante/les-maladies/article/les-maladies-du-sabot

Également, voici un lien qui traite des maladies de peau  http://horse-village.com/soins-et-sante/les-maladies/article/maladies-de-la-peau

J'ajoute un autre lien, en anglais, très intéressant, où vous trouverez photos, commentaires, et plusieurs façons de traiter efficacement : http://www.lazyhorserescue.org/194/227134.html

dimanche 13 mai 2012

Salon du Cheval 2012 - St-Agapit

François Bergeron, Monique Dandurand, et Kim, jument Canadienne
Hier, le 12 mai 2012, nous sommes allés au Salon du Cheval 2012 de St-Agapit. Nous avons rencontré Francois et Monique qui étaient présents et participants. Nous avons visité le kiosque de leur Ferme Mober. François Bergeron est un entraîneur I  à l'attelage, intervenant certifié par la Fédération équestre du Québec, et Monique Dandurand est un instructeur à l'attelage, intervenant certifié à la Fédération équestre du Québec.
Nous avons également assisté à leur présentration d'attelage et ce qui fut très apprécié par nous et par tous les spectateurs, qui étaient vraiment nombreux. Nous devons souligner l'engagement de François et Monique pour cette démonstration d'attelage qui était faite selon les règles de l'art. Voici le lien de leur site web  http://www.mober.ca/main.html

mercredi 9 mai 2012

Tortue des bois

Tortue des bois, photographiée par Florence Douville, biologiste

Tortue des bois, photographiée par Pierre-Luc Pitre, biologiste



Au printemps 2011, nous avons eu la visite de biologistes de l'Agence régionale de mise en valeur des forêts privées du Bas-Saint-Laurent. Ils étaient à la recherche de tortues des bois. En effet, cette tortue a reçu le statut d'espèce vulnérable. Durant leur visite, ils ont trouvé une tortue des bois sur la rive de la rivière Cabano. Cette tortue est photographiée ci-haut. Suite à cette découverte, des membres de l'Agence sont revenus en aôut 2011 faire un inventaire de la faune et de la flore sur notre terre, et prendre connaissance du milieu avec plus de détails.

En mars 2012, nous avons reçu un rapport d'inventaire suite à cette visite et, nous avons eu un entretien avec Florence Douville. Ce fut très intéressant. Le rapport est une mine d'informations  que je n'ai pas fini de lire.

Nous avons pris la décision de prendre des mesures de conservation volontaire pour ce milieu sensible qui se trouve chez nous. Il s'agit d'une partie du marécage de la Rivière Cabano. Comme beaucoup d'autres propriétaires de terrain, au Bas Saint-Laurent, il y en a environ 40 par années, depuis 4 ans déjà, qui acceptent de protéger en partie ou en totalité leur propriété, et ce, pour permettre à la nature de s'épanouir pleinement dans toute sa bio-diversité.